Bri contribution publiée le 25 octobre 2017 à 13:17
Les violences conjugales faites aux femmes détruisent leur intégrité humaine féminine.
Le silence des femmes battues s'explique par la honte, la culpabilité et la solitude.
Ces femmes essaient de "crier" leurs souffrances et douleurs mais la société ne les croit pas.
"En cas de violence brisez le silence" n'aide pas les femmes à parler des violences mais "Croire les cas de violence brise le silence" aiderait plus les femmes violentées à sortir du silence. A quoi sert-il de briser le silence si l'on n'est pas crue ?
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Inagentille. contribution publiée le 17 octobre 2017 à 12:07
Mes interrogations
Je me demandais chaque fois : est-ce que les blessures morales guérissent ? Cessera-t-on d'écouter ou vivre toutes les situations prejudiciables, selon que tu dois obéir aux coutumes, normes sociales, faites pour les privilèges des hommes ?
Je me demandais chaque fois : qui a suggéré aux femmes de ne rien dire sur ce qu'elles trouvent gauche dans la vie du ménage et qui rend la vie médiocre ? Est-ce parce qu'elles peuvent être sans force physique égale à celle des hommes, pour se défendre de leur colère, de leur agressivité ? Dire que les choses ne vont pas bien diminue t-il la virilité et la fierté de l'homme ? Personne n'est parfait pourtant. Recevoir un feedback n'est pas la cause de la séparation mais c'est le début d'une communication honnête.
Je me demandais pourquoi cette ordre maladroit existe partout : la femme amène à la maison tout le fruit de son travail et l'homme prend une partie ou tout pour lui et pour ses fantasmes et loisirs dans son lingala ! Il est le "chef" !
La femme n'a pas une destinée de malheur, de fatigue, de pauvreté, d'épuisement, de maladie, d'infériorité, de médiocrité, de second plan, d'exploitation, de manipulation, de mort. Ceci n'est pas le propre de la femme. C'est ta mère, d'est ta tante, c'sswt ton amie, c'est ta cousine, c'est ta fille, c'est ta future épouse, c'est ta camarade, ...
La destinée de la femme, c'est l'amour. Avec l'amour, elle accomplit des miracles. Avec l'amour, le monde ne seera plus ce qu'il est maintenant.
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Laetitia contribution publiée le 22 novembre 2016 à 10:35
Un court-métrage à visualiser absolument !
Comment dire, en 3 minutes et 14 secondes, à quel point il est difficile pour une victime de viol d'affronter le parcours judiciaire et surtout le regard moralisateur de la société qui pense souvent "qu'elle l'a bien cherché".
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Boréale contribution publiée le 25 novembre 2015 à 12:38
Ne restons plus silencieuse face aux violences faites aux femmes partout dans le monde. Les violences sont les brutalités physiques, morales et les viols. Nous devons nous habiller en multicolore, le noir est le symbole de la barbarie et de l'obscurantisme. Ne gardez pas vos souffrance pour vous, vos amies, des associations sont là pour les victimes.
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Batteur contribution publiée le 28 octobre 2015 à 09:10
Que faire quand un homme riche, intellectuel, fort, avec un carrière internationale, frappe sa femme et déchire sa robe dans la rue ?
Que faire quand la justice harcèle ceux qui sont censés protéger ces personnes, les arrête, les menace et leur interdit d'agir ?
La célébration de la journée mondiale ne doit pas nous servir à nous voiler la face...
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Menfin?! contribution publiée le 02 décembre 2014 à 14:12
Bonjour et Bravo d'abord, à tous les gens qui militent et soutiennent ces femmes, à toutes celles qui continuent à tenir debout...
Ma remarque concerne l'affiche qui me dérange chaque année. Il me semble qu'on parle surtout de violence masculine contre les femmes, non ?
Si 1 femme sur 8 est victime de violences conjugales, elle n'a pas de chance. Statistiquement, et en miroir, 1 homme sur 8 exprime la violence dans son couple. Subjectivement, c'est complètement différent, ce n'est plus une question de statistique mais de responsabilité... ne sentez vous pas un changement d'implication selon le côté où on se place? Pourquoi utilise-t-on toujours le côté socialement correct de ce couple? Parce que elle, c'est une copine, une collègue, une voisine, mais lui, c'est un pote aussi, un collègue, un voisin ? Alors qu'est-ce qu'on fait ? Peut-on changer les choses profondément sans déranger profondément ? C'est à dire dénoncer sans concession et ré-organiser ces relations (victime/bourreau/temoin)...
Et si au lieu de femme victime, on portait dès l'affiche, avant tout débat, si on portait la résilence ?
Dans les termes "élimination de la violence faite aux femmes", l'identification et l'enfermement dans le statut de victime me met chaque année dans un même état de révolte. Il n'y a pas de malchance à naître fille, ou de perversité à devenir femme, mais une terrible pathologie à prendre l'autre pour mon objet.
Voilà des pistes, parce que les affiches comme toute image viennent imprégner la psyché, et si ce support est un outil de résilience puissant, une image fixant la violence reçue risque aussi de freiner les prises de conscience. Allez pour 2015, l'affiche qui dénonce franchement, l'affiche qui soutient, l'affiche qui apaise ?
Pour maintenant, une pensée à la force et à la générosité du féminin, que cette beauté diffuse au delà de ces quelques jours de débats.
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ATTU contribution publiée le 25 novembre 2014 à 15:39
Chez nous à Madagascar, il n'y a pas encore de véritable association de femmes pour lutter contre la violence inffligée à la femme. Chacune rumine son problème en silence. Malheureusement, ceci encourage les hommes à en abuser; et c'est révoltant. Depuis des dizaines et des dizaines d'années cette violence existe bel et bien. Des promotions au niveau des entreprises ne s'obtiennent qu'après avoir couché avec le responsable hiérarchique. Les diplômes, à l'université de Madagascar également, ne se décrochent qu'après avoir couché avec les doyens même si cette étudiante est la major de la classe. Mais personne ici chez nous n'ose dénoncer tout cela. Et c'est révoltant.
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Isabeau contribution publiée le 25 novembre 2014 à 12:50
Jamais, ou si peu, on ne parles des hommes battus, humiliés... Pourquoi ? Quand utilisera-t-on le terme "femmes et hommes battus" ou un nom plus global ?
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Jpdlx contribution publiée le 23 novembre 2014 à 21:50
Un film contre les violences faites aux femmes, viols, prostitution, violences conjugales, mariages forcés, excision, ...
Regardez ce film militant, cinéma indépendant et engagé contre toutes les formes de violences faites aux femmes !
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Mères pour la Paix contribution publiée le 19 novembre 2014 à 13:43
L’association Mères pour la Paix œuvre depuis 20 ans aux côtés des femmes à travers le monde pour éradiquer la violence à l'égard des femmes. Il y a 20 ans, le viol de masse était utilisé en Bosnie comme arme de guerre en marge du massacre de Srebenicza et on estime à plus de 20 000 le nombre de femmes ayant subi cette violence indicible.
Aujourd’hui le comité Nord de Mères pour la Paix est de nouveau confronté à de telles pratiques à grand niveau puisque les domaines d’intervention du comité sont désormais situés en République Démocratique Congolaise, dans la province de Sud Kivu, où les femmes mais aussi les enfants sont victimes quotidiennement de viols; dans l’orphelinat soutenu par Mères pour la Paix, certaines petites filles ont subi des violences extrêmes et ont dû être réparées.
Nous nous associerons donc partout en France avec les membres de la composante femme de la société civile du Sud Kivu et sa Présidente Adèle SAFI Kagarabi, ambassadrice universelle de la paix pour le développement dans le monde, lauréate femme de la francophonie, femme en or.
Pour cette Journée du 25 novembre, nous nous habillerons toutes et tous en noir.
Et nous enverrons nos enfants à l’école avec un ruban noir (sur le bras, sur un vêtement, sur leur cartable) avec l’inscription au feutre blanc par exemple : Journée Internationale pour l'élimination de la violence à l'égard des femmes.
Voilà, c’est tout. Ce sera notre première initiative, nous la conforterons avec les années jusqu’à ce que cette journée soit marquée par ces deux manières d’attirer l’attention sur un véritable fléau indigne de sociétés du XXIème siècle. Pour prévenir autour de vous, relayez ce texte (facebook, twitter, mails) et n'hésitez pas à l'imprimer et à le mettre dans les cahiers de classe de vos enfants afin de faire comprendre le sens du ruban porté par les enfants à leurs enseignants.
Merci à tous et à toutes, grâce à vous cette "première" aura tout de suite un impact sérieux et mérité.
Un site à visiter : www.merespourlapaix.org
BestersV contribution publiée le 08 septembre 2014 à 22:30
Chanson inédite entre artistes flamands et wallons, pour une association qui lutte contre la violence faite aux femmes.
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Poupa contribution publiée le 25 novembre 2012 à 18:15
Bonjour, Je n'ai pas encore trouvé de voix masculine pour défendre cette cause...
Le monde, à mon sens, n'est pas bipolaire et le mal fait aux femmes concerne l'humanité entière. Les femmes représentent la moitité de l'humanité et il est réducteur que seules les femmes s'expriment. Pourrions nous, pour défendre cette cause, faire aussi appel à tous les hommes qui ont été, un jour ou l'autre, confrontés à ces violences : des pères, des conjoints ou compagnons, des frères, des fils des femmes meurtries ? Sans leur adhésion et sans l'apprentissage de nos enfants dès le plus jeune âge par leurs mamans, leurs papas et tous les adultes qui les aideront à grandir, notre société restera la même : les femmes d'un côté et les hommes de l'autre avec l'incompréhension partagée ! Je suis fille, soeur, mère et peut-être un jour grand-mère. J'espère beaucoup.
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Vd contribution publiée le 25 novembre 2012 à 03:07
Cri
Pas nécessaire qu'elle se regarde dans le miroir ce soir.
Elle a la nausée, des remontées acides et amères.
Elle a raclé le fond, le fond d'elle.
Elle garde tout, pas de sang.
Elle est écorchée dedans.
De souffrances noires Un corps-béance Avance.
Mimer la vie.
Sourire.
Vivre.
Pour les mots qui les blessent devant lesquels elles se taisent, pour la force des femmes.
Pour leur silence.
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Laurence contribution publiée le 03 novembre 2012 à 17:50
Pour tenter de réparer le traumatisme du viol, il faudrait inciter à lire le livre de Swan Nguyen, "Comment aider une victime de viol". Edité chez l'Esprit du Temps, préfacé par Benoite Groult, c'est un outil d'aide aux victimes de viol ou d'inceste. Swan Nguyen, elle même victime, a longtemps été écoutante "Viols, Femmes, Informations".
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