Sommeil Apnée contribution publiée le 25 mai 2023 à 15:50
La Journée mondiale du sommeil joue un rôle important dans la promotion de la santé du sommeil. Elle contribue surtout à sensibiliser et éduquer le public sur l'apnée du sommeil, ses symptômes (ronflements, sueurs nocturnes, somnolence...), ses facteurs de risque (obésité, hypertension artérielle...) et ses traitements (appareil PPC, orthèses...). Elle permet d'encourager les personnes à prendre des mesures pour diagnostiquer et traiter l'apnée du sommeil.
L'apnée du sommeil est un trouble respiratoire caractérisé par des pauses respiratoires récurrentes pendant le sommeil. Elle peut avoir de graves conséquences sur la santé si elle n'est pas diagnostiquée et traitée correctement. Malheureusement, trop de personnes atteintes de cette affection ignorent leur état ou négligent leurs symptômes.
Un site à visiter : www.sommeilapnee.fr
Respire Fit contribution publiée le 10 mars 2020 à 13:56
La sophrologie est un bel accompagnement pour retrouver un sommeil serein et réparateur en retrouvant l'équilibre entre le corps et l'esprit avec la respiration et la décontraction musculaire.
Il s'agit d'un outil simple et efficace, sans effet secondaire et que vous portez toujours sur vous, ceci, grâce à quelques séances avec un sophrologue averti qui vous transmettra la méthode.
Laotseu contribution publiée le 21 décembre 2015 à 01:59
Sommeil éphémère
Léger, désolé
Dans tous les plis retroussé
Au petit matin s'en est allé.
Un site à visiter :
Sleepy contribution publiée le 22 mars 2015 à 10:55
Je suis atteinte de narcolepsie-cataplexie, faisant partie d'une des maladies du sommeil mais aussi des maladies rares et chroniques dont on parle peu mais qui est pourtant grandissante (notamment dû à l'inoculation de vaccins), je souhaiterais qu'une journée y soit dédiée. Mon symbole est un ruban turquoise lié à un livre que j'ai écrit pour enfants et adultes (expliquant la maladie sur base de mon vécu et celui de mon fils) intitulé "réveille-toi, maman !".
Je porte mon ruban ainsi que mon entourage tous les 27 mars depuis 14 ans et je n'oublierai pas la 15eme dans quelques jours. Je me sens un peu seule à lutter mais je sais qu'un jour cela servira à informer les gens.
Un site à visiter :
Un peu de poésie, c'est possible... contribution publiée le 18 mars 2014 à 14:23
A Souffler plus tôt il aspire
Sur sa couche il se tourne,
Se retourne,
Et le sommeil se détourne.
C’est le sommeil du posté.
Les yeux gonflés et rougis
N’auront froissé les draps qu’une poignée d’heures,
Lorgnant cent fois de peur qu’ils ne s’oublient
Les aiguilles du réveil de son sommeil… réparateur ?
Sur sa couche il se tourne,
Se retourne,
Et le sommeil se détourne.
C’est le sommeil du posté.
Un café en vitesse descendu,
Le voilà parti assurer la relève.
Son collègue l’attend, ses yeux n’en peuvent plus,
Ils vont se fermer avant que le jour ne se lève.
En fin de nuit, une ravigotante douche,
Et voilà que son sommeil s’enfuit.
Quand le jour se lève, le verrier enfin se couche,
Saoulé de chaleur et de bruit.
Sur sa couche il se tourne,
Se retourne,
Et le sommeil se détourne.
C’est le sommeil du posté.
De sommeils en méridiennes
Entrecoupées par les criardes voix des loupiots,
Ou par ces diables de piafs qui de leurs rengaines
Au jour nouveau en train de poindre, saluent très tôt,
Quand ce n’est l’astre souverain qui darde
De ses rayons à travers les volets,
Ou le marchand ambulant
Qui longuement s’attarde
Sur son klaxon stridulent.
C’est le sommeil du posté.
Sur sa couche il se tourne,
Se retourne,
Et le sommeil se détourne.
Et des matins, des après-midi,
Et d’innombrables nuits,
Du défilé des jours au défilé des ans,
A cette usure du temps.
Il œuvre dans le "cagnard",
C’est le dur métier de verrier.
Bleu azur, le bleu de son "costard"
Avant que ne le maculent huile et suée.
Dieu quelles sont harassantes ces putains de journées,
Dans la chaleur écrasante des étouffants étés,
Où tu ne sais plus si tu as bu ou si tu as soif,
Les jambes en coton et le corps à moitié paf.
Avec son jargon, le verrier dit qu’il a " plongé ",
Qu’il repart en "planche", qu’il a pris une "brumée".
Et d’un revers de manche il éponge,
Sur son front rougi et ruisselant,
Les perles du labeur.
Souvent revient à lui le même songe
Dans l’air irrespirable devenu brûlant :
"S’il obtenait le droit à la retraite avant l’heure" ?
A souffler plus tôt le verrier aspire,
Il est grand temps enfin… Qu’il respire.
Après trente printemps postés,
Le verrier a " fait son temps ".
Son corps est las, usé,
Et n’a plus hélas ses jambes de vingt ans.
Il n’a au grand jamais "fait néant"
Tant s’en faut il a donné tellement
Avec ses bras et ses entrailles.
Devant la porte de l’usine,
Le " petit jeune " fait triste mine,
Il se morfond et souhaiterait bien du travail…
Juin 2000, Jean-Marc Delfau Albi
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